mercredi 26 janvier 2011, par Stéphane
Un univers assez semblable à celui de Marjane Satrapi, ce noir et blanc qu’elles ont en commun, ce trait quasi similaire. Sauf que nous sommes cette fois-ci au Liban, à Beyrouth, pendant la guerre. Des souvenirs -souvent douloureux pour la mémoire collective- qui sont traités ici avec pas mal d’humour, sinon une bonne dose de second degré. Un moyen format qui tient presque dans la poche...
Cette phrase, en exergue, d’un homme qui, décidément, a le sens de la formule :
« Rien ne distingue les souvenirs des autres moments. Ce n’est que plus tard qu’ils se font reconnaître à leurs cicatrices. » Chris Marker
Cambourakis. 12€90.