"Le Sel de la Mer". Un film (splendide) de Annemarie Jacir.
jeudi 11 septembre 2008, par Stéphane
Toujours subir l’oppression, l’humiliation. A peine le pied posé sur le sol israélien. Même lorsque l’on est née à Brooklyn. Alors que l’on vient à la rencontre de ses racines.
(En Palestine, même les dos d’âne peuvent représenter une entrave à la libre circulation.)
Emad : "Pourquoi tu es venue ici ? Il n’y a rien ici".
Soraya : "Il n’y a rien nulle part".
Notre liberté doit être celle des autres.