17 novembre 2011, par Stéphane
De la perte d’un être cher.
« Je continue du mieux possible à garder Samuel en moi, comme un supplément de vie. »
Des mots, des phrases, effleurés pour ne pas les brusquer. Pages tournées avec précaution, délicatesse.
« J’essaye de comprendre où est parti ce qu’il y avait à l’intérieur du corps de Samuel [...] J’ai pris une douche et l’eau m’a fait mal. »
L’avant, heureux. L’après, immédiat, brutal, douloureux. Les deux, entremêlés. Et puis la reconstruction, lente, progressive.
Une écriture subtile, tout (...)