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« (…) avec la mécanisation à outrance, l’âme quittait les régions éthérées, devenait esprit, raison, chose. »
Alexandre Friederich nous plonge dans cet univers troublant, nous trimballe auprès de ceux, devenus comme invisibles, qui survivent dans les entrailles de cette ville anéantie par, notamment, la crise de 2008.
« Un corps vide est un corps que la charogne occupe. Ainsi en va-t-il des bâtiments. »
Du coup, la ville du futur pourrait davantage ressembler à Detroit, plutôt qu’à Dubaï et son univers de (...)