lundi 15 août 2011
« L’internaute n’est pas indifférent et il le fait savoir avec toute l’élégance que permet l’anonymat. Jadis, au temps d’avant internet, l’écrivain anonyme se limitait à salir la porte des chiottes. Dans un bar à Montpellier, au coin des hommes, j’ai lu un des graffitis les plus réussis : "Maman, si tu lis ceci, sache que je regrette pour la soupière." »
In : L’écologie en bas de chez moi. Iegor Gran. P.O.L. 15,50€